Le piratage prend des proportions de plus en plus importantes à mesure que le temps passe. Les éditeurs de jeux se considérant lésés veulent frapper fort, et punir ceux qui partagent illégalement leurs softs. Mais le patron d'EA Sports n'entend pas les choses de la même façon,
On prend tout ceci très au sérieux au Royaume-Uni, où cinq éditeurs de
jeux (dont Atari et Codemasters) ont demandé à 25 000 pirates de leur
verser 300 livres chacun pour le préjudice causé. C'est ce que nous
rapporte The Times de Londres.
Codemasters en particulier a de quoi l'avoir vraiment mauvaise. En rien qu'une semaine, son titre Operation Flashpoint s'est vu téléchargé 691 000 fois. Ces éditeurs ont donc requis des fournisseurs d'accès Internet de faire savoir aux personnes concernées leurs intentions, en leur donnant le choix de payer l'amende, ou d'être poursuivi en justice.
Tout le monde dans l'industrie vidéoludique ne partage pas le même point de vue. Dont Peter Moore, désormais boss d'EA Sports, qui voit d'un mauvais œil ces pratiques censées remettre les joueurs sur le bon chemin.
Peter tient à faire partie de ceux qui mettront le piratage hors-jeu. Beaucoup de personnes s'impliquent énormément dans la création et l'élaboration de jeux, et leur travail doit être reconnu à leur juste valeur.
EA n'a donc apparemment pas l'intention de rejoindre "le Club des Cinq". Une santé financière plus au beau fixe que ceux-ci, certainement, qui verrait une action de ce genre superflue pour la société.
Article original de Gaël B. de Generation NT
Publié avec l'accord de la rédaction de Generation NT
Codemasters en particulier a de quoi l'avoir vraiment mauvaise. En rien qu'une semaine, son titre Operation Flashpoint s'est vu téléchargé 691 000 fois. Ces éditeurs ont donc requis des fournisseurs d'accès Internet de faire savoir aux personnes concernées leurs intentions, en leur donnant le choix de payer l'amende, ou d'être poursuivi en justice.
Tout le monde dans l'industrie vidéoludique ne partage pas le même point de vue. Dont Peter Moore, désormais boss d'EA Sports, qui voit d'un mauvais œil ces pratiques censées remettre les joueurs sur le bon chemin.
"Je ne suis pas un grand fan d'essayer de punir votre consommateur.
Bien que ces personnes aient clairement volé la propriété
intellectuelle, je pense qu'il y a de meilleures façons de résoudre ce
qui est en notre pouvoir en tant que développeurs et éditeurs."
Peter tient à faire partie de ceux qui mettront le piratage hors-jeu. Beaucoup de personnes s'impliquent énormément dans la création et l'élaboration de jeux, et leur travail doit être reconnu à leur juste valeur.
"Mais en même temps, je pense qu'il existe de meilleures solutions
que de poursuivre les gens pour de l'argent. [...] Si nous avons appris
quelque chose de la musique, c'est qu'ils ne se font juste aucun ami en
attaquant en justice leurs consommateurs. Personnellement, je ne
souhaite pas que notre industrie soit victime de ce qui s'est passé
avec la musique."
EA n'a donc apparemment pas l'intention de rejoindre "le Club des Cinq". Une santé financière plus au beau fixe que ceux-ci, certainement, qui verrait une action de ce genre superflue pour la société.
Article original de Gaël B. de Generation NT
Publié avec l'accord de la rédaction de Generation NT
Commenter