PREVIEW - DmC Devil May Cry: Definitive Edition - Dante et Vergil dans du gameplay maison
par Maxime ClaudelNous avons essayé la version PlayStation 4 de la dernière aventure de Dante. Nous avons même pu enregistrer notre session.
Après avoir investi la PlayStation 3 et la Xbox 360 il y a de cela un petit moment déjà, DmC: Devil May Cry a décidé de reprendre du service, mais sur consoles nouvelle génération cette fois. Dante et Vergil, les deux frères charismatiques, investissent donc la PlayStation 4 et la Xbox One avec une Definitive Edition comme nous en avons (trop) l'habitude ces derniers temps. Capcom nous a invités à y jouer histoire de nous forger un premier avis et, surtout, d'enregistrer un peu de gameplay.
La vidéo, maison donc, est à même de vous fournir un aperçu du gap graphique, si tant est qu'il y en ait vraiment un, entre les différentes moutures. Bien évidemment, le framerate calibré à 60 fps assure un confort visuel supplémentaire, avec une résolution de 1080p pour plus de propreté et la possibilité de booster la vitesse de 20 % (comme ce fut le cas dans notre session). Toutefois, ne vous attendez pas à une baffe pour la rétine, tant DmC Devil May Cry: Definitive Edition se situe dans la moyenne basse des portages, point de vue des graphismes. Le gameplay, lui, n'a pas changé d'un iota, exception faite de l'introduction du lock, loin d'être indispensable dans le feu de l'action, mais toujours bienvenu pour ceux qui aiment viser juste tout le temps.
En revanche, force est de reconnaître que DmC Devil May Cry: Definitive Edition assure en termes de contenu. Entre l'aventure de base, le DLC La Chute de Vergil (accessible d'entrée), les nouveaux modes de difficulté (pour les joueurs hardcores), l'ajout du Palais de Sang pour Vergil ou encore les nombreux costumes (même s'ils ne s'affichent pas dans les cinématiques...), le bébé de Ninja Theory et Capcom présente un excellent rapport qualité/prix (il sera vendu une quarantaine d'euros). De là à justifier un nouvel achat pour ceux qui y ont déjà goûté, il n'y a qu'un pas...