La Chine, le Japon... pourquoi pas ?
La licence Assassin's Creed fait voyager les joueurs, autant dans le monde que dans le temps. Après le Moyen-Orient de la troisième croisade, l'Italie de la Renaissance, la Révolution américaine, les Caraïbes du XVIIIe siècle, le Paris de la Révolution française et l'Angleterre victorienne, certains se demandent ce qui viendra ensuite. À l'occasion de la sortie de la PlayStation 4 en Chine, les langues se sont à moitié déliées. À moitié seulement, attention de ne pas trop s'emballer.
Répondant à des journalistes sur place, Stephanie Perotti, responsable Uplay d'Ubisoft monde, a indiqué que la création d'un opus se tenant en Asie « n'était pas impossible ». Car si l'idée d'un opus au Japon semble avoir déjà traversé les esprits des créatifs d'Ubisoft (à plusieurs reprises), Alex Hutchinson, Directeur Créatif sur AC III, annonçait en octobre dernier qu'un opus au temps du féodalisme oriental se rapprocherait trop des jeux de ninja, fermant d'un coup d'un seul la porte à cette possibilité.
Fort heureusement, Stephanie Perotti calme les esprits asiatiques :
Je ne pense pas que nous ayons dit que nous n'étions pas intéressés par l'histoire chinoise. Je pense que nous envisageons beaucoup d'histoires, nous voulons avoir la créativité pour créer la bonne histoire dans le bon contexte.
Cela se fera si nous avons des créateurs d'Assassin's Creed qui veulent passer du temps à comprendre l'histoire de cette période, c'est important que nous comprenions l'histoire chinoise ou japonaise avoir de réaliser de bons jeux historiques.
Autrement dit, rien n'est gravé dans la roche pour le moment et aucun Assassin's Creed en Asie ne semble en cours de développement (à l'exception d'Assassin's Creed Chronicles: China), mais l'hypothèse n'est pas encore écartée.